Campagne, Campagne…

 

Campagne,

 

La campagne Présidentielle actuelle est insipide,  on reprend les mêmes et on recommence, rien de bien nouveau. La droite tape sur ces salauds de pauvres et la gauche sur ces salauds de riches.

 

Les problèmes actuels sont occultés.

 

Rémunérations des salariés trop faibles et à la traine depuis bien longtemps compensées un temps par le recours au crédit mais cette époque est morte et révolue d’où la crise actuelle, une majorité de personnes seraient bien prêtes à consommer de façon intelligente si elles en avaient les moyens.

 

Coût de notre protection sociale qui nous revient de plus en plus chère tout en étant de moins en moins bien remboursée.

 

Chômage en hausse constante avec à la clef quand on retrouve du travail, un travail généralement moins intéressant et moins bien rémunéré.

 

Hausse constante des prix de l’énergie, pétrole, gaz  et électricité et ainsi de suite…..

 

Au niveau de la sécurité, le tableau n’est guère meilleur malgré une politique répressive tout azimut, entre les radars qui poussent comme des champignons, les descentes commandos médiatisées de la police dans les cités ect…. Nous sommes en droit de nous poser des questions.

 

Non, on ne peut pas continuer comme cela. Quel candidat aura assez de culot pour appeler un chat, un chat et nous proposer un nouveau contrat social qui tient compte de l’évolution du monde dans lequel nous vivons.

 

Pour nous tirer d’affaire, nous n’avons pas d’autre choix que de jouer la carte Européenne à fond car l’union fait la force, mais pas cette Europe actuelle de la finance pure qui détruit tout sur son passage, seulement celle de demain qui reste à définir, celle des Peuples, des Nations qui la compose tout en créant un nouveau modèle social qui associe capitalisme raisonné et humanisme.

 

Pour cela, il n’y a pas d’autre choix, il faut être clair sur les objectifs à atteindre :

 

La société dans son ensemble doit garantir un revenu qui permet à une personne au bas de l’échelle sociale quelque soit son métier de vivre dignement de son travail sans aucune aide. Pour cela, nous n’avons pas d’autre choix que de définir un salaire minimum garanti qui colle à la réalité de la vie.

 

En cas de chômage, le salaire de la personne doit être maintenu dans son intégralité. En contre partie, la personne doit chercher du travail tout en pouvant compter sur l’aide en cas de besoin d’un Pôle Emploi qui a vraiment les moyens de travailler de façon sérieuse et efficace. Le but du jeu est que le salarié ne subisse pas un déclassement social à l’arrivée.

 

Nous devons remettre en état de marche notre système éducatif, en donnant les moyens financiers, humains, techniques et législatifs à celui-ci pour qu’à l’arrivée la plus grande majorité des enfants, malgré les difficultés rencontrées lors de leur scolarité, sachent lire, écrire, compter, comprendre et analyser par eux-mêmes.

 

Nous devons aussi remettre en état de fonctionnement notre système de santé, en lui donnant vraiment les moyens financiers, humains dont il a besoin tout en  l’humanisant au maximum, ce qui nous évitera bien des soucis à l’arrivée. Il suffit de passer un après-midi aux urgences, malgré le dévouement et la compétence du personnel qui y travaille, pour voir que quelque chose cloche, on a pas dû faire les économies où il faillait.

 

Nous devons aussi vérifier que nos forces de sécurité intérieures et extérieures (police, gendarmerie, armée, services spéciaux…) ont bien les moyens d’assurer les tâches qui leur sont confiées.

 

On pourrait continuer longtemps la litanie, on pourrait parler aussi de la dette de notre pays, des banques qui s’enrichissent sur le dos du contribuable dans le système économique actuel, des retraites à honorer, la dernière réforme n’a rien solutionné sur le long terme mais n’a fait que repousser à plus tard le soucis, ect…..

 

Bref, un candidat nous proposera-t-il enfin un projet de société logique, cohérent et adapté au défit de notre époque, pour qu’on arrête une bonne fois pour toute cette politique de la bidouille qui dure depuis trop longtemps et qui ne solutionne rien.

Jean Paul DURNERIN


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Mort en Gironde

Ce monde est devenu complètement fou.

On tue pour un rien, pour un mot, un regard.

L’intolérance est de mise.

C’est  la loi du chacun pour soi.

Le mauvais alcool, la drogue induisent des comportements à risque.

La misère va de soi tant que ce n’est pas pour soi.

La lassitude a envahi les cœurs, les esprits.

La pensée est devenue unique.

La société est dirigée par un dogme érigé en DIEU.

Tout va de travers et on nous dit que c’est normal.

Mais on nous ment.

Il est plus que temps que nous réagissions tous ensemble.

Rien n’est inéducable.

Il nous faut couper toutes ces branches mortes pour que l’espoir et la vie reprennent.

Renvoyons dans les cordes tous ces prophètes de malheur qui nous ont emmenés au désastre actuel.

Reprenons notre destin en mains et recréons enfin ce monde de demain ou le mot humain voudra enfin dire à nouveau quelque chose.

La terre, la planète bleue nous dira merci.

Nos enfants aussi.

Alors unissons nos forces, retrouvons cette volonté humaine de créer à nouveau un monde qui fonctionne, c’est possible si nous le voulons réellement.

Car mourir à 21 ans pour rien, par bêtise humaine, c’est une nouvelle fois l’espoir qu’on assassine.

Cela s’est passé ce week-end en Gironde.

Jean Paul DURNERIN
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Questionnaire à choix multiple…

Et pourquoi toujours gauche/droite !

 

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Lancement du comité de soutien dans le Cher

Le comité de soutien de François Bayrou pour le Cher est lancé.

Présidé par Abdel Salam Al Khoudja, médecin urologue à l’hôpital Jacques Coeur à Bourges.

 

Vous pourrez lire ci-après l’édition du Berry Républicain reprenant ces informations.

 

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Mélanchon monte dans les sondages… Parlons-en !

Vous trouverez sous ce lien un article, très bien rédigé, sur le personnage de Jean Luc Mélanchon… Et sur la politique qu’adopte aujourd’hui le Front de Gauche.

N’hésitez pas à réagir à sa lecture…

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Meeting de François Bayrou : le MoDem du Cher présent

Voici quelques photos (MoDem du Cher) du meeting de François Bayrou dimanche 25 mars 2012 au Zenith.

Pour en savoir plus sur cette journée, cliquez ici

 

 

 

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« La France Solidaire » de François Bayrou

EXTRAITS

« À chacun ses mots clés. Certains choisissent le changement. C’est un des mots les plus creux du vocabulaire politique. Un de ces mots qu’on appelle valise, sachant qu’on peut tout mettre à l’intérieur. Il m’est arrivé, à moi aussi, d’employer ce mot quand j’étais bien plus jeune. J’avais commencé la campagne de 2002 avec un beau slogan, La France humaine, que j’avais déployé sur les flancs du bus au colza avec lequel j’avais entrepris de faire campagne. Hélas ! Les Boeing d’al-Qaida frappèrent les tours jumelles, et la campagne perdit aussitôt son sens et son originalité. Alors, en désespoir de cause, j’écrivis sur mes affiches : Le changementLe changement, c’est ce qu’on dit quand on n’a rien à dire, ou qu’on ne peut rien dire. Ou, pire, quand on ne veut rien dire, faute d’avoir une pensée cohérente, indépendante des sondages et de l’air du temps. Car le changement n’est rien en soi : des changements, il en est de bons et il en est de mauvais, et parfois de très mauvais.

D’autres choisissent La France forte. Ainsi ceux qui ont, ces dernières années, le plus affaibli notre pays et mis à mal ses valeurs se drapent dans l’invocation de son intégrité et de son rayonnement. Il y a plus de soixante ans, dans son grand roman visionnaire 1984George Orwell inventait la novlangue. Une langue qui était faite pour que personne ne puisse décrire une autre réalité que celle que voulait imposer la police de la pensée. Les mots eux-mêmes servaient à dire le contraire de ce qu’ils cherchaient à signifier. La guerre, c’est la paix !, ou La liberté, c’est l’esclavage !, devaient scander tous les jours les habitants abêtis. Utiliser les mots pour signifier leur contraire : l’amputation de toute compréhension, la décérébration par la propagande. Ce qui a affaibli la France, c’est l’absence de lucidité, les directions erronées, la division des Français entre eux, la recherche perpétuelle de boucs émissaires. Tout cela a été pour notre pays régressif et agressif. Le style brutal pour, au bout du compte, ne rien faire, ou pas grand-chose. La mise en scène avec les grands de ce monde pour montrer combien l’on est grand soi-même. Tout cela, c’était le contraire de la France forte. Continuer avec les mêmes dans la même direction, c’est donc la ruine de notre force nationale.

Si l’on veut l’authentique force de la France, et si l’on veut un changement bienfaisant par rapport à la situation actuelle, alors il est une condition : refonder la solidarité de la nation et la placer au centre de son destin. […]

« Coups de pied au derrière »

On a entendu récemment deux déclarations particulièrement choquantes, venues d’un bord, mais qui auraient pu venir de l’autre. Recevant plusieurs centaines d’experts à la fin du mois de janvier, le candidat du PS leur a dit ceci : Je sais que beaucoup d’entre vous sont là pour les postes. Et ils ont raison, parce que des postes, il y en aura beaucoup… Et à la fin du mois de février : Ceux [des hauts fonctionnaires] qui sont liés au pouvoir actuel devront forcément laisser la place à d’autres.

C’est une corruption de l’esprit public, d’autant plus grave que l’opposition a, depuis des années, et à juste titre, et moi au premier rang, reproché à Nicolas Sarkozy de peupler la haute fonction publique de ses affidés et de ses obligés. Et pas seulement la haute fonction publique, mais aussi la haute fonction privée ! C’est justement une des raisons pour lesquelles les républicains de conviction ont refusé leur confiance, ont combattu à visage découvert ce régime d’arbitraire.

Je sais ce qu’on dit dans bien des milieux quand on aborde ces questions. On dit c’est comme ça partout, on dit c’est inévitable. Je prétends que la corruption des esprits n’est pas inévitable, et je prétends que l’État est plus fort si on le débarrasse de l’obligation d’allégeance et de soumission. Je veux des fonctionnaires libres, et parce qu’ils seront libres ils seront encouragés à être loyaux. La loyauté, ça commence par la confiance. C’est parce qu’il n’y a pas de confiance, et parce que ces moeurs règnent partout, que les échines deviennent souples et courbes, que la flagornerie isole les gouvernants, et qu’on ne voit partout que lèche et lâche.

[…] Tout ramener à l’affiliation à un parti ou à un courant de pensée, c’est faire injure à la liberté de pensée. Que le Parti socialiste affiche si ouvertement un sectarisme d’État, au moment même où il ambitionne le monopole de l’appareil d’État, il y a là une dérive que, je l’affirme, ni Jaurès, ni Blum, ni aucun des républicains qui ont fait la France n’aurait laissée passer sans vigoureux coups de pied au derrière des arrogants impétrants. Ces jeunes gens auraient eu du mal, par la suite, à s’asseoir. »

 

Ce livre est en vente dans toutes les bonnes librairies, alors pensez-y et passez l’acheter !

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Bayrou, prophète… en son pays ?

Les Français se trouvent au pied du mur : ou bien opter pour une vérité peu sexy compte tenu des circonstances ; ou bien continuer à préférer le maquillage outrancier sous lequel ils savent que la fille qu’on leur présente n’est pas aussi jolie qu’on le prétend.

« Depuis le général de Gaulle en 1958, […], aucun candidat n’est parvenu à se faire élire avec un programme de vérité. » Ainsi s’exprime Sylvie Pierre-Brossolette dans Le Point du 15 mars 2012 qui, au-dessus du portrait de Bayrou, titrait : « Le prophète ».

Quand on lit le dossier consacré au candidat du centre, on s’aperçoit que ce n’était pas ironique. En fait, Bayrou se distingue des autres candidats par le peu de promesses qu’il fait. Pour moi, c’est un argument positif : plus il y a de promesses, plus il y aura de promesses… non tenues. Bayrou essaye de ne prendre que des engagements tenables ; et même cela sera difficile -par exemple gérer le personnel de l’État à budget constant.

Faute de vision…

Il est frappant de constater que les « grands » candidats sont des calculatrices à parole. Derrière leurs chiffres, souvent contestables, la pensée ou ce qui en tient lieu est indigente. Hollande nous ressort le catalogue de la bien-pensance socialiste, par exemple en voulant supprimer le mot « races » de la Constitution (faudra-t-il supprimer les mots « homme » et « femme » pour faire plaisir à certains lobbies ?…) ; il serait plus opportun de réfléchir à ce qu’est ou n’est pas le concept de race plutôt que d’en nier l’existence. Toujours cette volonté de niveler les différences tout en les exaltant : c’est dans l’air du temps. Côté Sarkozy, de pensée, point : les virages à 180 degrés du Líder Mínimo en sont la preuve flagrante, s’il en fallait encore une après cinq années passées à disloquer notre pays faute d’en avoir une vision.

Bayrou pense, parle et écrit. D’aucuns en tireraient argument pour dire qu’il est incapable de gouverner. Le Parisien disait, le 15 mars 2012 : « C’est un peu quitte ou double. Il tire la campagne vers le haut, au risque d’apparaître plus comme un penseur qu’un acteur de la société.  » Certes. Mais l’un n’empêche pas l’autre. Je dirais même : l’un est le carburant de l’autre. S’il fallait en citer deux exemples, celui du poète Václav Havel, devenu « président-philosophe » de la Tchécoslovaquie, en serait un (Bayrou a assisté à ses obsèques). L’autre, c’est Nelson Mandela, qui fut un activiste, un président et un sage pour le plus grand bien de l’Afrique du Sud (je le tiens même pour le plus grand héros du XXe siècle).

Voilà pourquoi Bayrou, qui a relu de Gaulle, plaide pour un projet de société : « Il n’y aura pas de marche en avant s’il n’y a pas de cap », affirme-t-il (Libération du 14 mars 2012).

Pourquoi les Français placent-ils François Bayrou en tête des personnalités les plus appréciées, à 60% (en hausse constante), alors que les sondages, même inexacts, le donnent entre 11 et 15% dans les intentions de vote ? Eh bien c’est parce qu’ils veulent des miracles : Guéris nos écrouelles ! Augmente le SMIC ! Améliore nos retraites ! Protège nos bas de laine ! Fais des miracles ! Descends de la croix ! Fais un miracle puisque tu vas à la messe !

Pire encore : nos compatriotes veulent des miracles auxquels ils ne croient pas… mais auxquels ils veulent croire…

Changer de mentalité

Si cette équation bancale parvient à se résoudre, si les électeurs se décident pour un langage de vérité (je n’ai pas dit : une pensée infaillible), l’élection est gagnée pour Bayrou.

« Pour être prêt à espérer en ce qui ne trompe pas, il faut d’abord désespérer de tout ce qui trompe », écrivait Bernanos. La France est-elle assez désespérée pour préférer aux brutes et aux illusionnistes celui qui dit la vérité ? C’est ce que nous verrons.

Pierre Mendès-France était de cette race-là (oh ! pardon, M. Hollande). Il n’a gouverné que sept mois, mais il s’est forgé une légende méritée d’intégrité et de droiture politique. Jimmy Carter n’a fait qu’un mandat comme président des États-Unis. Aujourd’hui, il est universellement respecté après avoir été beaucoup méprisé.

Je parierais volontiers que, si François Bayrou devient président de la République française, il ne fera qu’un mandat. Mais permettons-lui de le faire ! Des déceptions, il y en aura, c’est certain. Mais il n’est plus supportable d’être gouverné à la schlague par des gens prostitués aux valeurs monétaires, même pas au service de tous, mais à celui de leurs amis riches. Et si la France repassait aux mains des socialistes, elle serait certes un peu plus humaine, mais trop encombrée de casseroles (il fallait écouter Montebourg, Mme Aubry !) et trop empesée de slogans de pure idéologie, qui contraindraient François Hollande à faire marche arrière toute en moins de temps que Mitterrand n’a dû le faire au début des années 80.

Bayrou a un programme pensé, réaliste, qu’il convient de lire et, pourquoi pas, de méditer. Actuellement, les intentions de votes semblent s’équilibrer, notamment grâce à Jean-Luc Mélenchon. Cela fait tomber l’argument du « vote utile », qui a tellement nui à Bayrou. Le temps est venu de retrouver une France fraternelle, juste, courageuse et vraie.

Philippe Malidor

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« Il faut des femmes et des hommes au gouvernement qui ont autre chose en tête que les intérêts partisans ! »

Le peuple français a besoin qu’on lui dise la vérité, avec une politique de rassemblement », a défendu François Bayrou au micro de Radio Classique et de LCP, vendredi 16 mars.

 

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Témoignage

Hier, un ami de longue date est venu me voir et m’a dit ceci :

– Tu m’avais parlé de Bayrou. Moi, je penchais plutôt pour Mélenchon. Je suis allé me renseigner sur Bayrou, et je suis convaincu que c’est pour lui que je vais voter : c’est décidé.
L’ami est reparti avec quelques tracts à distribuer dans son village.

Deuxième témoignage : Le début de la campagne de tractage à Bourges a bien commencé en ce qui me concerne. D’abord, deux petites vieilles très bayrouistes avec qui nous avons discuté de longues minutes. Puis, plus tard, une dame accompagnée d’une jeune femme ; elles acceptent le tract très aimablement ; elles y jettent un coup d’oeil tout en marchant, puis la jeune femme se retourne en me disant : Bon courage !

De cela, deux leçons:
1) Bayrou a un capital de sympathie indéniable dans la population, comme je l’ai constaté par ailleurs ;
2) Il faut miser à fond sur l’information : dialoguer, discuter, inciter les gens à devancer les médias et à aller se documenter sur les propositions de Bayrou.
Et aussi, merci de nous donner un coup de main pour la campagne de tractage qui est essentielle ! Le vote Sarko est un vote « tripal » ; le vote Hollande est un vote idéologique ; le vote Bayrou sera un vote pensé. Il faut donc inciter celles et ceux qui sont encore capables de penser à le faire ! MOBILISEZ-VOUS !

Philippe MALIDOR

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